

FRANCOPRESSE – Jeudi dernier, à l’occasion de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, nous sommes beaucoup à avoir revêtu un chandail orange en hommage aux victimes des pensionnats autochtones. À avoir publié, dès les premières lueurs du jour, un message de solidarité sur nos réseaux sociaux.
AGRICOM (Ontario) – Pour Elouise Molgat, nouvelle vétérinaire au sein de l’équipe de Services vétérinaires de l’Est ontarien, le choix de carrière n’a pas été difficile. Grande passionnée des vaches laitières et des bovins en particulier, elle relève les défis quotidiens du métier qui se présentent à elle, toujours avec le sourire.
LE VOYAGEUR (Ontario) – La ferme et musée Saint-Germain qui se trouve sur la rue Dominion à Hanmer (au nord de Sudbury) est ouverte depuis 2004. Rempli d’anciens équipements agricoles et d’autres antiquités bien conservées, le tout accompagné de riches histoires, le musée est l’endroit idéal pour tous ceux qui sont curieux de l’histoire locale et curieux de savoir à quoi ressemblait la vie d’un fermier dans les années 1940.
FRANCOPRESSE – En juin 2021, le Parlement du Canada a adopté une loi créant une Journée nationale de la vérité et de la réconciliation. Il répond ainsi à l’appel à l’action 80 de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Ce nouveau jour férié, le 30 septembre, est une occasion de recueillement, de rassemblement, d’apprentissage et de participation à la réconciliation – mais ce n’est qu’un premier pas.
ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Il y a de ces petites communautés au Nouveau-Brunswick où la chasse à l’orignal est beaucoup plus qu’un simple loisir, mais bien un véritable mode de vie.
Le long de la côte sud de Terre-Neuve, les petites communautés côtières leurs fiords accessibles seulement par traversier et leurs habitants se laissent découvrir lentement au gré de l’eau.
IJL L’AURORE BORÉALE (Yukon) – Productrices et producteurs locaux se réinventent pour offrir une variété toujours plus grande de produits frais et de qualité. Ces enthousiastes du potager n’ont pas froid aux yeux, malgré les défis que peut représenter l’exploitation maraichère dans le Grand Nord. Ils et elles se démènent pour répondre à une demande en pleine croissance.