C’est «une programmation à part, pour une année charnière», indique le président Valéry Vlad, qui confirme que le déplacement du Salon de décembre à février est permanent. Mais l’équipe souhaite toujours revenir à la Bibliothèque de référence dès que la situation sanitaire le permettra.
Rencontres et tables rondes
Du 4 au 24 février, Lectures en temps de peste présente 21 auteurs de la francophonie ontarienne — un par jour — qui viendront discuter de leurs plus récents ouvrages.
Et deux tables rondes Écrire en temps de peste sont organisées : avec des auteurs qui en sont à leurs premières publications le jeudi 11 février à 18 h, et avec des auteurs plus établis le samedi 13 février à 18 h.
Reflet de la communauté LGBTQ
Une autre table ronde, Raconter ce qui ne se racontait pas, organisée par l’Association des auteures et auteurs de l’Ontario français (AAOF), va essayer de répondre à la question suivante : «Est-ce que les lectrices et les lecteurs LGBTQ se reconnaissent-ils dans la littérature franco-ontarienne?»
Parmi ses invités ce samedi 6 février à 18 h : Michel-Rémi Lafond, Sylvie Bérard, Pierre-Luc Landry, Alex Tétreault, Éric Mathieu.
Visites d’auteurs pour parler racisme
«La programmation jeunesse sera l’une des plus importantes que le Salon du livre de Toronto a proposée jusqu’à maintenant», assurent les responsables.
Dans le cadre d’un projet Parle-moi du racisme, financé par le Salon et par le Programme d’appui à la francophonie ontarienne (PAFO), les jeunes recevront la visite en ligne d’auteurs et artistes comme Monia Mazigh, Gabriel Osson, Natasha Kanapé Fontaine, Paul Savoie, Mimi O’bonsawin, Michèle Laframboise.
Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal L’Express