
Parler mal, pour bien discuter de l’insécurité linguistique
FRANCOPRESSE – Le comédien, poète et auteur acadien Gabriel Robichaud se souvient très bien de la première fois qu’il a vécu de l’insécurité linguistique. C’était au secondaire. Une monitrice de langue venue «corriger» les erreurs des élèves a dit : «Ben non, tu peux pas parler de même. C’est laid.»