

FRANCOPRESSE – Cela fera bientôt deux ans que Céline Beuvens Nicaise et Manu Nicaise se sont établis à l’Île-du-Prince-Édouard, la plus petite province canadienne. Lorsqu’ils jettent un regard en arrière et constatent le chemin parcouru, un même mot leur vient à la bouche : «Wow». Ces Belges d’origine ne regrettent aucunement leur plongeon tête première dans l’aventure de l’immigration au Canada, malgré un départ «déchirant» puisque leurs enfants sont restés sur le Vieux Continent.
L’histoire continue de s’écrire : les Franco-Ontariens verront dorénavant leur drapeau flotter en permanence devant l’Assemblée législative de l’Ontario, à Toronto.
FRANCOPRESSE – Adina-Ioana Timofei est impatiente d’arriver au Canada. La Roumaine-Britannique affiche un sourire serein à travers son écran, depuis le nord-est du Royaume-Uni. Son mari et elle ont reçu leur résidence permanente canadienne en décembre 2020 et c’est à Ottawa qu’ils aimeraient s’installer dès que les mesures sanitaires leur permettront. Francopresse les suivra dans leur parcours jusqu’à leur installation au Canada.
FRANCOPRESSE – Dix-sept. C’est le nombre de fois que CBC/Radio-Canada est mentionnée dans le document de réforme des langues officielles présenté par la ministre Mélanie Joly en février dernier. Les médias communautaires, eux : zéro. Une situation qui préoccupe certains intervenants du milieu et les partis d’opposition à Ottawa.
PUBLIREPORTAGE – Cette année, l’Acadie est à l’honneur dans le cadre de la 23e édition des Rendez-vous de la francophonie qui prennent leur envol aujourd’hui. Si le cœur de l’Acadie bat dans les provinces maritimes, sa diaspora se retrouve partout au Canada et dans le monde entier. Chaque 15 aout, des milliers de personnes se rassemblent pour célébrer la culture acadienne qui, malgré les épreuves, est toujours bien vivante.
LE DROIT (Ottawa) – Les Québécois accélèrent leur anglicisation, à l’image des Acadiens et des Franco-Ontariens, avertit un statisticien et professeur retraité de l’Université d’Ottawa.
FRANCOPRESSE – Le document de réforme des langues officielles présenté la semaine dernière par la ministre Mélanie Joly propose de soutenir les langues minoritaires dans différents domaines : immigration, langue de travail dans la fonction publique et dans les entreprises privées de compétence fédérale, CBC/Radio-Canada, institutions francophones et plus encore. De «belles idées» dont la mise en application demeure à préciser, nuancent certains experts.
LA VOIX ACADIENNE (Île-du-Prince-Édouard) – Le 21 février marquait la Journée internationale de la langue maternelle. Cette journée, observée pour la première fois en l’an 2000, a été créée par l’UNESCO, pour réaffirmer son engagement en faveur de la diversité linguistique. À l’Île-du-Prince-Édouard, en particulier dans la communauté acadienne et francophone, la question de la langue maternelle est toujours d’actualité.
FRANCOPRESSE – Dans le document intitulé Français et anglais : vers une égalité réelle des langues officielles au Canada, la ministre Mélanie Joly, énonce les intentions du gouvernement quant à la modernisation de la Loi sur les langues officielles. Tout comme dans le dernier discours du Trône, le document réaffirme la situation asymétrique des deux langues officielles en reconnaissant le statut minoritaire du français en Amérique du Nord et le besoin de le protéger partout au Canada, y compris au Québec.