le Dimanche 27 avril 2025

Inès Lombardo

Début mai, le gouvernement fédéral a annoncé une nouvelle voie pour faciliter l’obtention de la résidente permanente. — Crédit : Alexandr Podvalny — Pexels

Résidence permanente : rebattre les cartes de l’immigration francophone

28 mai 2021 Francophonie

FRANCOPRESSE —Début mai, le gouvernement fédéral a annoncé une «nouvelle voie» pour faciliter l’obtention de la résidente permanente. Travailleurs essentiels et étudiants internationaux déjà présents sur le territoire en sont les principales cibles. Une occasion en or encore peu utilisée chez les francophones en contexte minoritaire, qui ne sont restreints par aucun quota pour accéder au précieux sésame.

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Alors que le besoin de recruter des éducatrices et éducateurs francophones en milieu minoritaire est criant dans certaines régions du Canada, les discussions et pratiques échangées ont montré à quel point les constructions identitaire et linguistique de ces professionnels jouent un rôle pivot dans l’épanouissement des tout-petits. — CDC - Unsplash

Éducateurs en petite enfance : pivots de la fierté francophone des tout-petits

14 mai 2021 Éducation

FRANCOPRESSE – Les professionnels de l’éducation en petite enfance jouent un rôle primordial dans la construction identitaire et linguistique des tout-petits. C’est l’une des conclusions qui ressort du premier Symposium national sur la petite enfance présenté par l’Association des collèges et universités de la francophonie canadienne. Cependant, la pénurie d’éducateurs qualifiés ou l’absence de formation pose problème dans plusieurs régions du pays.

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À partir du 17 mai, la francophone Roda Muse sera la nouvelle secrétaire générale de la Commission canadienne pour l’UNESCO. — Courtoisie/Montage Francopresse

Roda Muse, la force tranquille franco-ontarienne nommée à la Commission canadienne pour l’UNESCO

12 mai 2021 Francophonie

FRANCOPRESSE – À partir du 17 mai, Roda Muse sera la nouvelle secrétaire générale de la Commission canadienne de l’UNESCO. Il y a 27 ans, elle a quitté Djibouti, en Afrique de l’Est, pour l’Ontario. Depuis, elle a bâti son parcours sur des luttes pour la francophonie, l’égalité homme-femme et l’éducation. Ses combats et sa façon de les mener ne sont pas étrangers à sa récente nomination.

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Aurélie Marié en Afrique du Sud: « Cette photo, c’était juste après mon saut à l’élastique du pont le plus haut de monde a l’époque [le Pont de Bloukrans] - quand mon ex-copain et son frère n’ont pas osé sauté, d’où la fierté sur mon visage ! » — Courtoisie

Apprendre des autres et voyager, le sel de la vie d’Aurélie Marié

7 mai 2021 Francophonie

FRANCOPRESSE – Aurélie Marié vit à Ottawa depuis 2017, après quatre ans à Sudbury. Elle fait partie des personnes qui racontent leur tour du monde émaillé d’anecdotes avec un bonheur palpable. Ou, comme la Française bientôt Canadienne aime à les qualifier, ses «sauts de puce du monde». Si elle a en effet visité plusieurs pays dès qu’elle en a eu le temps et l’envie, certains l’ont retenue plus longuement que d’autres en marquant un peu plus sa passion pour le partage des cultures.

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L’Université de Sudbury ne pourra plus offrir son programme d’études autochtones le 1er mai en raison de la dissolution de la Fédération Laurentienne. — Page Facebook Université de Sudbury

Lourdes pertes pour les études autochtones en Ontario

28 avril 2021 Éducation

FRANCOPRESSE – L’Université de Sudbury ne pourra plus offrir son programme d’études autochtones le 1er mai en raison de la dissolution de la Fédération Laurentienne. Des professeurs du programme craignent pour l’avenir de l’enseignement autochtone dans le Nord de l’Ontario, alors que seulement six des 65 cours seront transférés temporairement pour le semestre du printemps à la Laurentienne. Tout ce branlebas de combat risque de nuire aux étudiants, craignent plusieurs professeurs.

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Au total, Matsui Takehiro compte trois séjours temporaires dans trois villes canadiennes différentes. C’est à Moncton qu’il a finalement obtenu le précieux sésame, en 2018. De son parcours atypique ressort sa passion sans limites pour l’Acadie. — Montage Francopresse

Matsui Takehiro, l’Acadie dans la peau

22 avril 2021 Francophonie

FRANCOPRESSE – Trois fois en 29 ans. C’est le nombre de tentatives de Matsui Takehiro, Japonais installé à Moncton au Nouveau-Brunswick, pour obtenir la résidence permanente au Canada. Au total, il compte trois séjours temporaires dans trois villes canadiennes différentes. C’est à Moncton qu’il a finalement obtenu le précieux sésame, en 2018. De son parcours atypique ressort sa passion sans limites pour l’Acadie.

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L’Université Laurentienne a vécu le 12 avril un «lundi noir» qui n’est pas sans rappeler le «jeudi noir» de 2018, lorsque la province avait annulé le projet d’Université de l’Ontario français et aboli le Commissariat aux services en français. — Julien Cayouette – Le Voyageur

Colère et incertitude chez les étudiants de la Laurentienne

15 avril 2021 Éducation

FRANCOPRESSE – L’Université Laurentienne a vécu le 12 avril un «lundi noir» qui n’est pas sans rappeler le «jeudi noir» de 2018, lorsque la province avait annulé le projet d’Université de l’Ontario français et aboli le Commissariat aux services en français. Cette fois, ce sont 69 programmes qui seront annulés à la Laurentienne, dont 28 en français. Les étudiants, encore hébétés par cette récente gifle à leur droit d’étudier en français, alternent entre tristesse et colère.

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Au total, la canalisation 5 transporte jusqu’à 540 000 barils par jour de pétrole brut léger, de brut synthétique léger et de liquides de gaz naturel (LGN), qui sont raffinés en propane, selon les données d’Enbridge. — Environmental Defence Canada – Flickr – https://www.flickr.com/photos/environmentaldefence/7692693470/

Dispute canado-américaine : le pétrole ou la sauvegarde des Grands Lacs

14 avril 2021 Sciences et environnement

FRANCOPRESSE – Fin 2020, la gouverneure de l’État du Michigan, Gretchen Whitmer, a ordonné à la multinationale canadienne Enbridge de fermer une portion de la ligne 5 de son oléoduc, sous le détroit de Mackinac, pour des raisons écologiques. Un ordre auquel s’opposent la multinationale et des élus ontariens, qui craignent d’importantes répercussions économiques. Du côté du Michigan, on craint cependant la catastrophe écologique si la portion de l’oléoduc demeure ouverte.

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